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29 août 2014 5 29 /08 /août /2014 11:03

25 août :

 

 

Les éleveurs normands appellent à un soutien international pour sauver les terres d’élevage autour du Haras du Pin !

Les éleveurs normands et la population autour du Haras-du-Pin lancent un appel à tous ceux qui viendront assister aux épreuves des JEM 2014 au Haras du Pin :

 

Sauvons les terres d’élevage autour du Haras-du-Pin des déchets industriels que Claude Dauphin et son entreprise GDE veulent stocker pendant 17 ans.

Un combat hors du commun oppose ainsi depuis plusieurs mois la population normande à un projet de décharge de taille européenne à Nonant le Pin, à 5 km du Haras du Pin.

Avec cette décharge, la Normandie risquerait d’accueillir des déchets de l’Europe entière, voire pourquoi pas du monde entier, lorsque l’on considère l’emprise mondial du groupe GDE-ECORE-TRAFIGURA.

La mega-décharge de GDE stockerait en effet 150 000 tonnes de déchets par an, soit 2 millions 550 000 tonnes de déchets sur la durée de l’exploitation, faisant surgir des collines de 30 mètres de haut de déchets. Emanation de gaz toxiques avec des pollutions de l’air, des terres et des eaux sont annoncées par de nombreux spécialistes. Les terres seront gravement polluées, et même probablement au-delà des 30 années de surveillance imposées à l’issue de l’exploitation.

Et tout cela au seul profit d’un industriel mis en examen et plusieurs fois condamné pour non-respect des réglementations et pour pollution de l’environnement ! Eric Puérari, président de Sauvegarde des Terres d’Elevage, « De notre mobilisation à tous dépend l’avenir des terres d’élevage autour du Haras du Pin. Nous avons besoin de vous : soutenez nous en faisant savoir dans vos réseaux le combat qui se déroule à proximité du Haras du Pin ! ».

La Fédération Internationale des Eleveurs de Pur-Sang qui s’est réunie à Santiago du Chili le 5 Mars 2014, a déjà appelé à l’arrêt de ce massacre et décidé de classer les terres autour de Nonant-le-Pin comme région protégée pour l’élevage du cheval. Pour que les JEM 2014 soient aussi un rendez-vous avec la solidarité, un espace de rencontre avec les Associations qui luttent contre ce projet absurde et dangereux, sera ouvert au Haras du Pin les 29 et 30 août. Les journalistes intéressés pourront être conduits sur le site où s’est organisé la résistance contre GDE, à l’entrée de la décharge. Pour toute information complémentaire, rendez-vous sur notre mini site www.saveourhorses.fr et notre page Facebook ou contactez le +(33) 648 316 753

 

JEM-2014.PNG

 

voir l'original du communiqué sur : 

http://www.sauvegardedesterresdelevage.com/site/wp-content/uploads/2014/08/CP-JEM2014.pdf

 

 

28 août dans OUEST-FRANCE :

JEM au haras du Pin.
Les anti-GDE veulent profiter des Jeux

Des milliers de passionnés de chevaux et des journalistes qui convergent au Haras du Pin. Les anti-GDE ne pouvaient pas rêver mieux comme caisse de résonance.

Après dix longs mois de présence devant l'entrée du centre de stockage de déchets de Nonant-le-Pin, les opposants au site de GDE n'ont pas encore plié bagage. Les Jeux équestres mondiaux (JEM) qui débutent ce jeudi au Haras du Pin (à quelques kilomètres de Nonant) sont une parfaite occasion de faire entendre leur cause.

« On nous propose d'installer une tente sur le parking des journalistes », explique Noëlle Sandoz, présidente de Nonant Environnement. Un espace obtenu à force de négociations avec les organisateurs. 

« Pas des kamikazes »

Laurent Beauvais, qui soutient les opposants au site de Guy Dauphin Environnement à Nonant mais préside aussi les JEM, a voulu étouffer le vent de révolte dans l'œuf : « Ne pas leur donner la possibilité de s'exprimer aurait peut-être provoqué des réactions qui n'allaient pas dans le sens d'une compétition sportive. »

Les opposants ont promis de se tenir à carreau. « On n'est pas des kamikazes, renchérit Émilie sur le campement des anti-GDE, mais il y a des fortes têtes qui agissent seules. » Noëlle Sandoz se veut rassurante, « avec les forces de sécurité mobilisées, je ne crois pas aux débordements ».

 



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4 juin 2014 3 04 /06 /juin /2014 08:10

Profitant du magnifique soleil programmé () pour ce 31 mai, ARDIMEA avait invité ses adhérents et sympathisants à fêter sa victoire sur le projet que GDE avait cru imposer sur les terres de Fry.

 

Près de 150 personnes ont répondu à cette invitation.

 

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En 2008 la population avait découvert l'acquisition de 65 ha que venait de faire GDE (Guy Dauphin Environnement) pour y créer un Centre d'Enfouissement de Résidus de Broyage Automobile (résidus provenant essentiellement de son unité de broyage de voitures de Montoir de Bretagne)... et d'autres déchets industriels.

 

Au cours de l'assemblée générale qui s'est déroulée préalablement au repas auquel étaient conviés les adhérents, la Présidente Brigitte HEURTEL s’est félicitée du résultat obtenu grâce à la mobilisation immédiate de toute la population locale et bien au-delà :

  • GDE n'a pas pu imposer son projet
  • L'article L143-4 a été modifié, imposant à l'industriel (qui bénéficie de la non préemption par la SAFER !) de réaliser son projet en 3 ans au lieu de 5 ans.
  • Et en finale, les terres sont revenues à l'agriculture puisque deux exploitants y sont maintenant établis,

La spontanéité et la détermination ont été payantes a-t-elle dit et je remercie très sincèrement tous les riverains, les agriculteurs déjà échaudés par la dioxine l’année précédente, les personnes plus ou moins éloignées du site convoité qui se sont joints à nous ainsi que les nombreux élus qui nous ont soutenus.

En fin de réunion la question a été posée du  maintien ou de la dissolution de l’association, le débat qui s’en est suivi s’orientait plutôt pour le maintien, mais aucune décision n’a été prise.


Yves DANIEL, député de la circonscription, s’est joint à l’assemblée en fin de matinée. Il a félicité l’association et ses responsables, et plus particulièrement la Présidente, pour le combat acharné qui a été conduit brillamment. Il a fait part du projet d’amendement qu’il a déposé à l’Assemblée Nationale, suite à la demande d’ARDIMEA, et qui consiste à élargir le champ d’action des SAFER afin que des projets similaires à celui de FRY ne puissent plus se reproduire. Il a fait état des difficultés rencontrées mais ne désespère de voir aboutir la modification législative dans la future loi d’avenir agricole.

 

Après le pot de la victoire et le repas, l’après-midi s’est déroulé dans la joie et la bonne humeur avec les présentations alternées d'un groupe de danse country et de l’humoriste local Stéphane Adam. Son spectacle "Let me Fry !" a retracé malicieusement toutes les péripéties de l’affaire qui somme toute a fait grand bruit dans la frairie du Far-West dénommée la Montagne-Blanche-où-Domine-le-Hêtre, Guémené-Penfao.

 

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"Let me Fry !" ou les aventures d'un pauvre laboureur et de Mr Gédéon

 

 

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A la fin de son spectacle, le conteur a invité le public à enterrer symboliquement le projet

en déposant des petites voitures dans un cercueil !

 

ARDIMEA remercie l'Association MASSERAC Dancers, Stephane ADAM et les bénévoles qui ont aidé à la réussite de cette fête.

 

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15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 09:01
GDE à Nonant-le-Pin. La justice prononce la fermeture du site
   
  • L'avocat de GDE Roman Pinosch (à gauche), François Debray (au milieu), un huissier de justice devant les prélèvements de déchets effectués sur le site de GDE à Nonant-le-Pin. L'avocat de GDE Roman Pinosch (à gauche), François Debray (au milieu), un huissier de justice devant les prélèvements de déchets effectués sur le site de GDE à Nonant-le-Pin. | Rédaction

Ouest-France

Mardi soir, le tribunal correctionnel d'Argentan a prononcé la fermeture du site de tri et de stockage de déchets de la société Guy Dauphin Environnement, à Nonant-le-Pin.

Hier, mardi 13 mai, le tribunal correctionnel d'Argentan jugeait l'affaire qui opposait la société Guy Dauphin Environnement (GDE) et les associations France nature environnement et le Centre d'information indépendante sur les déchets pour le site de tri et de stockage de Nonant-le-Pin.

Les associations avaient engagé des poursuites au pénal contre la société pour gestion irrégulière de déchets entre le 22 octobre 2013 et le 6 février 2014, notamment des morceaux de pneus.

Une audience de six heures

Hier, suite à une audience qui a duré plus de six heures, le tribunal correctionnel d'Argentan a rendu son jugement à 23 h 55. Le tribunal ordonne la fermeture définitive du site GDE, condamne la société à 10 000 € d'amende, 2 000 € de dommages et intérêts pour chacune des associations, ainsi que 2 000 € pour les frais d'avocats de chacune d'entre elles.

Ce même mardi 13 mai, la Cour d'appel de Caen avait rejeté le référé de l'entreprise qui voulait faire enlever les scellés, posés par la justice à Nonant-le-Pin, le 19 avril.

La société de recyclage a annoncé ce mercredi midi qu'elle faisait appel.

 

 

ARDIMEA félicite toutes les associations qui ont permi de gagner cette nouvelle bataille contre GDE...

 

et invite à la fête qu'elle organise le 31 mai 2014
Terrain de Lizien
Ancien hippodrome (route de Guénouvry)
à Guémené-Penfao (44290)


11h30 Assemblée générale

12h30 Repas (5€)

14h00 Spectacle humoristique et folklorique

 

Merci d'adresser votre réservation (avec un chèque de 5 € par personne pour le repas) avant le 21 mai à :

 

ARDIMEA 
Mr. Mikael RIBAULT

Castres  44290 Guémené-Penfao                       
Tél : 02 40 79 53 52        Mobile
06 74 68 09 61


 

 


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    5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 09:27


    Ouest-France du 4 février 2014
    Traitement des déchets. L'état major de GDE dans la tourmente
    par Jean Pierre Beuve       Caen - 04 Février

     

    Le PDG de GDE et le petit-fils du fondateur sont gardés à vue ; le directeur de GDE-Montoir-de-Bretagne (Loire-Atlantique) est en détention.

    Déclenchée en juin 2013 par le parquet du Mans, l’enquête pour travail dissimulé, faux et escroquerie en bande organisée au sein de l’entreprise normande de recyclage Guy Dauphin Environnement (GDE) s’est brusquement accélérée durant les derniers jours.

    Directeur du site GDE de Montoir-de-Bretagne (Loire-Atlantique), Jean-Yves Luquet a, selon le procureur du Mans, été mis en examen au terme de sa garde à vue, à la fin de la semaine passée et placé en détention provisoire.

    Le président en garde à vue

    Depuis lundi 3 février 2014, Bruce Monnier, président du directoire de GDE, est en garde en vue ainsi que Guillaume Dauphin, petit-fils de Guy Dauphin, fondateur de l’entreprise, où il occupe des responsabilités. Informations confirmées par le parquet du Mans. La garde à vue doit se terminer mercredi 5 février 2014.

    Poids de bennes sous-évalué ?

    La société aurait sous-évalué le poids de certaines bennes arrivant sur ses sites de recyclage. Objectifs possibles : dégager un bonus permettant d’augmenter les marges ou de consentir un rabais lors de la revente de la ferraille retraitée.

    Blocage dans l'Orne

    L'entreprise est actuellement confrontée à une autre difficulté : le blocage de son nouveau site dans l'Orne,  à Nonant-le-Pin.

     

     

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    4 janvier 2014 6 04 /01 /janvier /2014 08:27

    En ce début d'année ARDIMEA présente à tous ses meilleurs voeux !

     

    Il y a juste un peu plus d'un an (16 décembre 2012), nous avions appris qu'un compromis de vente venait d'être signé au profit de la SAFER.

     

    Mais d'ultimes négociations ont sans doute été nécessaires, car la signature de la vente, attendue pour janvier 2013, n'a été effective que le 4 mars 2013.

     

    Peu importe maintenant ces tracasseries, car les terres de Fry sont bien revenues sous propriété et statut agricole en date du 24 septembre 2013.

     


     

    C'est ce qu'ARDIMEA vous proposera de célébrer au

     

    cours d'un rassemblement festif


    le 31 mai 2014 à Guémené-Penfao :


    Repas champêtre suivi d'animations dans l'après-midi !

     

     

    ARDIMEA

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    28 octobre 2013 1 28 /10 /octobre /2013 13:58

    Le SCANDALE de GDE à Nonant-le-Pin continue !

     

    Signez la pétition en ligne en vous rendant sur :

     

    http://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/stoppons-la-mega-d%C3%A9charge-de-nonant-le-gouvernement-doit-faire-respecter-les-d%C3%A9cisions-de-justice?utm_campaign=petition_created&utm_medium=email&utm_source=guides

     

     

    On se souvient que le préfet de l'Orne avait refusé en 2010 d'autoriser l'exploitation du centre de stockage de Résidus de Broyage Automobile que GDE prévoyait d'implanter sur le site de Nonant-le-Pin à proximité immédiate des haras .

     


    Le préfet invoquait notamment " l'atteinte au patrimoine naturel, culturel, historique, environnant ", ainsi que " l'impact négatif sur la filière équine de ce type d'installation ".

     

    Mais sa décision a été annulée, en février 2011, par le tribunal administratif de Caen pour des raisons de procédure.

     

    Un tel refus équivalant à une autorisation, GDE a bien évidemment commencé aussitùot les travaux de ce centre d'enfouissement de Déchets Industriels Banals.

     

    Mais la population, les agriculteurs et les professionnels des professions équines se sont regroupés pour faire face à ce projet monstrueux (ce serait le plus grand centre d'enfouissement de déchets industriels d'Europe).

     

    Malgré tous leurs efforts, les travaux de préparation de cette décharge se sont pousuivis à un rythme soutenu.

     

    *

    *  *

    Un déni de démocratie !

     

    Un blocus citoyen s'est formé mercredi 23 octobre 2013, des riverains bloquent dans le calme et la détermination l'accès des déchets RB au centre d'enfouissement de GDE à Nonant-le-Pin.

    Ces riverains continuent à se mobiliser sur place et à travers les réseaux sociaux contre ce déni de démocratie, soutenus par les associations environnementales et des élus.

    Ils demandent à GDE et aux pouvoirs publics de laisser la Justice se prononcer le 7 janvier 2014 sur le recours déposé par l'industriel.

    Nous nous interrogeons sur les craintes de GDE qui conteste la décision du Tribunal de grande Instance (TGI) d'Argentan. Le 12 août, ce tribunal a ordonné une expertise des terres des haras et des agriculteurs riverains du site industriel GDE. Le but : dresser un état des lieux environnemental (eau, air, sols, acoustique) avant l'ouverture du centre de stockage de déchets RB.


     Mardi 22 octobre au matin, GDE a transgressé l'ordre du Tribunal de grande instance d'Argenta de patienter un peu et a décidé le déchargement des déchets de résidus de broyage (RB) d'au moins 4 camions de déchets RB en provenance de Rocquencourt [1, 2].

     

    M. le Préfet du département de l'Orne a donné son feu vert alors qu'il aurait du attendre la décision de la Cour d'Appel de Caen.

     

    Devant ce passage en force de GDE, l'indignation des populations dans notre région et l'incompréhension des associations, le collectif national des associations riveraines des activités de GDE, le Grape et le CREPAN soutiennent les populations en lutte pour que GDE respecte les décisions de justice et en appellent à l'intervention de M. le Président de la République et donc de M; le Préfet de l'Orne pour qu'ils oeuvrent à l'apaisement dans ce dossier, dans l'attente d'une décision de justice, chère au Président de la République.

     

    Pour les soutenir, ARDIMEA vous invite à signer la pétition !

     

    [1]  Nous rappelons que GDE est tenu d’évacuer les déchets des résidus de broyage (RB) déposés sur le site de Rocquancourt (14), plus de 25 000 t dont 13 000 tonnes autorisées temporairement par la préfectorale depuis le 4 mai 2013 pour une durée de 6 mois ; cette échéance se termine le 04 novembre prochain. 

     

    [2]  M. Simon a précisé en CLIS le 19 juin 2013 que la DREAL reste vigilante sur ce sujet et qu'un suivi strict de l'évacuation des "RB" à l'issue de la période de 6 mois sera effectué, sachant que des filières d'élimination existent à proximité du site GDE à Roqcuancourt.

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    2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 23:04

    Il y avait de nombreux candidats à la reprise (on parle d'un vingtaine de dossiers ?).

     

    Nous avons appris en fin de semaine dernière que la décision de la SAFER MAINE-OCEAN avait été rendue comme prévu le 24 septembre 2013.

     


    Les terres ont été divisées et attribuées séparément à deux agriculteurs de Guémené-Penfao, Mr LEGENDRE d'une part, et Mr MOREAU d'autre part.

    Les raisons qui ont dicté ces choix portent sur le peu de terres dont ils disposaient par rapport au nombre d'associés ainsi que sur l'installation de jeunes.

    ARDIMEA salue cette décision qui correspond à ses objectifs du refus d'enfouissement, ... même si les moutons auxquels on était habitués vont disparaître !

     

    Une fête marquera dignement cette victoire et nous vous donnons rendez-vous le 31 mai 2014.


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    27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 11:07

    Les terres de Fry ont été partagée et atribuées à deux agriculteurs de Guemné-Penfao : Mr LEGENDRE et Mr MOREAU.

     

    Selon nos premières informations, les raisons qui ont présidé à ces choix sont :

    • peu de terres pour le nombre d'associés,
    • installation de jeunes agriculteurs.

    Nous aurons peut être plus de détails dans les prochains jours...

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    14 juillet 2013 7 14 /07 /juillet /2013 09:45

    Hier 13 juillet, NPCB a communiqué sur son site internet (www.npcb.info) l'information suivante :

     

    Après 5 ans de lutte, et grâce à notre engagement et notre ténacité à tous, les 152 hectares de terres de Cohignac en Plouray viennent enfin de revenir à l'agriculture.

     

    Elles ont été rachetées par la SBAFER et vont être revendues à des porteurs de projets agricoles.

     

    • La publication officielle paraîtra le 19 juillet dans les journaux et en mairie et durera 15 jours

    • les projets doivent être le plus avancés possible (il y aura du monde...) : candidatures fin juillet et possibilité de renvoyer des éléments avant le comité technique du 25 septembre

    • sur les 152ha, environ une cinquantaine sont en zones humides ou bois (autour de 1000 à 1500€/ha. Le reste étant labourable ou en prairie (autour de 4000€/ha).

    • les terres n'ont subi aucun traitement depuis 5 ans / uniquement fauchées donc sont potentiellement en bio de suite !

    • présence d'une stabulation et d'un hangar à vendre également

       

    • Pas de DPU actuellement

    • La SBAFER invite les personnes intéressées à :

    • aller voir sur place les terres, possibilité d'y aller directement

    • en fonction de son projet recontacter Nicolas Aubry, conseiller foncier au 02 97 46 57 72 / 06 75 76 25 29 pour avoir la ventilation des prix et précisions)

    Pour information ICI le plan des terres et LA le détail des parcelles.

    L'association Terres de Liens propose un accompagnement aux porteurs de projet, ne pas hésiter à les contacter.

     

     

    ARDIMEA s'associe à cette victoire et félicite tous les partenaires de NPCB pour leur réussite.

     

     

     


     

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    26 avril 2013 5 26 /04 /avril /2013 09:43

    ARDIMEA communique :

     


    La nouvelle a été connue début mars. Ce qui aurait du avoir lieu lors de la vente en juin 2008 s'est (enfin !) réalisé en mars 2013 : les terres de Fry sont maintenant propriété de la SAFER. Une procédure d'attribution règlementaire va se dérouler et à son terme, les terres seront achetées par un (des) agriculteur(s).

     

    Un simple courrier du notaire de GDE précisant qu'il s'agissait "d'un projet industriel"  avait empêché la SAFER de préempter, selon les termes l'article L143-4 du code rural.

     

    ARDIMEA tient à remercier toutes les personnes individuelles, les groupes ou associations, ainsi que les élus de nombreuses municipalités environnantes qui, par leur soutien et/ou par leurs délibérations, ont permis cette conclusion heureuse.

     

    Le nouveau PLU de la commune qui doit entrer en vigueur avant la fin de l'année intègre la notion de ZAP (Zone Agricole Protégée) proposée par ARDIMEA à tout l'ensemble de la Commune (70 % des terres) protégeant ainsi l'activité agricole.

     

    ARDIMEA continue son action pour faire changer l'article L143-4 qui fait que "n'importe quel industriel peut acheter n'importe quelle terre agricole à la vente pour faire n'importe quel projet industriel."

     

     

    ARDIMEA

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